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Les quartiers commerçants

La Ville de Bruxelles compte pas moins d’une quinzaine de quartiers, chacun avec sa propre identité…

Bruxelles n’est jamais présente là où on l’attend. On croit visiter une capitale, on rencontre une ville à taille humaine. On pense découvrir une ville ancienne, à l’image de la Grand-Place, on tombe sur la modernité créative des boutiques de la Rue Dansaert. On emprunte une ruelle médiévale, on bute sur le Quartier Européen et son allure de Little Manhattan. On va du très aristocratique Sablon aux Marolles populaires sans même s’en rendre compte. Et en remontant un peu hors les murs, on découvre des quartiers villages, comme Laeken… Bref, Bruxelles révèle bien des surprises.

Bockstael est un quartier familial, populaire, composé de nombreux commerces de proximité.

L’hôtel communal de Laeken n’a fonctionné que de son inauguration en 1908 jusque 1921, date de l’annexion de Laeken par Bruxelles-Ville. Cet édifice imposant se voulait être le point d’orgue d’un nouveau quartier, centre d’un urbanisme moderne. Son beffroi demeure le phare de cette solennité ostentatoire de cette ancienne commune, tout en restant fidèle aux styles glorieux du passé.

Les rues avoisinantes ont été créées en même temps que la place Bockstael, et le florilège des styles architecturaux permet une visite haute en couleur et en diversité.

De l’Art nouveau au Modernisme en passant par l’Art-Déco et le Néo-gothique, ces maisons bruxelloises toutes différentes racontent par la singularité de leur façade le désir d’individualisation de leurs propriétaires.

Boucheries, boulangeries, poissonneries, mais aussi torréfacteur, marchand de vélos ou encore animalier se mélangent. On y recense plus de 400 commerces !

Le samedi, les échoppes du plus grand marché du Nord de Bruxelles invitent à la flânerie.

Pôle du design et du stylisme, le quartier Dansaert est un lieu de destination incontournable.

Parcourir les commerces de créateurs permet d’explorer les multiples facettes du talent artistique belge. La vitalité du quartier est renforcée par une offre de restaurants et de cafés branchés autour des Halles Saint-Géry.

Ce quartier est implanté au nord-ouest du Pentagone, entre les boulevards centraux (la Bourse) et le canal. Il est le symbole du renouveau du Centre-Ville. Les rues Dansaert et de Flandre et les quartiers Vismet et Saint-Géry forment un tout qui s’articule harmonieusement et propose un ensemble composé d’une grande diversité d’identités et de fonctions.

2 lignes de métro, 4 de tram, 20 de bus, 1 730 places de parking couvert. Accessible.

7.300 visiteurs par jour. Cette zone est par ailleurs à 2 minutes à pied de la Grand-Place.

1 cinéma, 6 théâtres, 2 musées, 3 bibliothèques, 17 écoles. C’est un lieu de culture, de sortie, mais aussi de vie de quartier.

Flux piétons : le boulevard Anspach et la rue Dansaert comptent chacun 13 000 et 14 000 piétons chaque jour. Les rues qui accueillent l’horeca branché en comptent entre 5 500 et 6 200. La zone est vue comme agréable et vivante.

De nombreux visiteurs y viennent du centre-ville le midi pour aller y luncher et faire des achats.

Les clients sont en demande d’une augmentation de l’offre commerciale dans le quartier.

Ce quartier bruxellois, à la limite de la frontière de la Région flamande et dans l’ombre du Heysel, a subi de grandes transformations urbanistiques à l’occasion des expositions internationales de 1910 et de 1958.

Le Pavillon chinois et la Tour japonaise sont situés tout près. Des tours à appartements y dominent le paysage, mais le quartier accueille aussi une cité-jardin avec ses maisons ouvrières typiques des années 1920. La rue De Wand est une artère commerçante vivante qui court à travers tout le Mutsaert. Le canal et le Domaine royal de Laeken séparent l’endroit du reste de la ville.

Le quartier à l’ambiance familiale propose un mélange de grandes enseignes et de commerces indépendants. L’offre y est particulièrement complète et qualitative : beauté, mode, déco, horeca, supermarchés, commerces de bouche, librairies, magasins de jouets, cordonniers, opticiens téléphonie… Une importante diversité pour ce pôle commercial incontournable qui attire aussi bien les riverains de ce quartier résidentiel que les habitants des communes et des régions voisines.

On y recense en moyenne 4000 piétons par jour.

Internationalement connue pour son histoire, sa qualité architecturale et sa richesse ornementale, la Grand-Place avec son Hôtel de Ville est considérée comme l’une des plus belles places du monde, classée au Patrimoine mondial par l’UNESCO en 1998.

Les évènements festifs ou culturels renforcent l’animation de ce quartier riche en hôtels, restaurants, cafés et commerces de spécialités belges, comme la dentelle et le chocolat, et en magasins de souvenirs.

La Grand-Place est l’attraction touristique principale du pays et la rue Neuve sa première rue commerçante. C’est une zone qui s’étend du Centre au Nord jusqu’à la place Rogier. Elle est la plus riche en culture, commerces et attractions de la Région. Ce continuum d’activités, d’un très grand dynamisme, s’ouvre sur l’espace public.

Les attentes des habitants ne reflètent que leur souci de développer un tissu commercial qui leur permettrait de réellement « vivre » dans le quartier. Les visiteurs sont en demande de nouveaux commerces à la présentation visuelle attractive.

Près de la moitié des chalands est âgée entre 25 et 29 ans. Ils se déplacent dans un tiers des cas à pied et le reste se partage le métro et la voiture.

Ils représentent pour la plupart la classe moyenne (2000-2500 € de revenu).

La raison principale de visite du quartier est l’achat et la fréquentation est quotidienne ou hebdomadaire pour plus de la moitié des visiteurs.

Le nombre de piétons par jour en moyenne dans ce quartier dépasse les 22 150 piétons rue de la Colline. Les rues voisines de la Grand-Place : Tabora, du Marché aux herbes et au beurre voient passer entre 14 500 et 16 300 piétons par jour en moyenne. En comparaison, la Grand-Place en compte 7 900.

Ces rues commerçantes connaissent un pic de fréquentation le samedi et ne sont aucun jour de la semaine en dessous des 10 000 passants hebdomadaires.

L’avenue Louise, qui forme une ligne droite d’environ trois kilomètres, relie l’animation de la ville haute au calme du Bois de la Cambre.

Les 500 premiers mètres sont émaillés de nombreux magasins situés de part et d’autre de l’artère : des boutiques de luxe, mais aussi des chaînes abordables proposant de l’habillement, des chaussures ainsi que de la joaillerie et des articles de décoration de maison.

De plus en plus de bars, cafés et restaurants proposant des lunchs voient le jour. L’idéal pour s’offrir une petite pause entre deux emplettes ou pour une pause déjeuner pour les nombreux travailleurs du quartier.

Quartier de tradition populaire, les Marolles accueillent chaque matin le Vieux Marché sur la place du Jeu de Balle.

De nombreux brocanteurs et des magasins de meubles et de décoration se succèdent le long des deux artères principales que sont les rues Haute et Blaes. La place Breughel constitue une halte gourmande accueillante à l’ombre du Palais de Justice.

Tout semble opposer ces deux quartiers, l’un populaire, l’autre bourgeois. Cependant ces deux vieux quartiers bruxellois partagent un tronc commun au travers de leur histoire, mais aussi par leur fonction : l’un réunit les brocanteurs, l’autre les antiquaires. Cette offre complémentaire assure un réel dynamisme commercial et touristique.

C’est un quartier de petits commerçants indépendants, l’offre commerciale est de proximité et sans trop de fioritures. Le commerçant y cultive le contact personnel et l’interaction.

2 lignes de métro, 3 de bus, 5 de tram, 2 850 places de parking couvert, 4 théâtres, 3 musées, 4 salles de spectacle, 22 écoles, et 1 hôpital.

Le flux piétons moyen quotidien des rues Haute et Blaes s’élève entre 5.000 et 6 000 passages.

À l’inverse des autres quartiers commerçants, cette zone, déjà très vivante en semaine, l’est encore plus le dimanche. C’est un but de promenade du dimanche et la clientèle est très hétérogène.

Même si les clients aimeraient voir l’offre alimentaire et commerciale se diversifier, ils attendent des magasins qui respectent et adoptent « l’esprit marollien ».

Porte d’entrée au Sud de la Ville de Bruxelles, le quartier Midi Lemonnier se compose de deux axes commerçants : le boulevard Lemonnier et l’avenue de Stalingrad.

Les bouquinistes, les commerces de matériel informatique, les restaurants et les salons de thé se côtoient dans une ambiance chaleureuse à tonalité orientale. Bibliopolis et Pêle-Mêle sont les principales locomotives de ce quartier.

Ce quartier relie la garde du Midi à la Grand-Place de Bruxelles. Le dimanche, le quartier s’anime et fonctionne en lien avec le Marché du Midi.

Flux piéton moyen par jour : entre 5 000 et 6 500. C’est un lieu de passage important entre la gare du Midi et la Grand-Place.

1 ligne de métro, 10 de bus, 6 de tram, 1 gare internationale, 1 915 places de parking couvert.

5 écoles, 2 musées.

Le quartier royal de Bruxelles offre une échappée culturelle par excellence.

Aux alentours de la magnifique place Royale cohabitent les Musées des Beaux-Arts, Magritte, des Instruments de Musique, Belvue, le Coudenberg, le Bozar et la Bibliothèque royale. Librairies spécialisées, galeries d’art, mais aussi de nombreux restaurants complètent le décor de ce quartier souverain, pôle culturel et touristique régional. Les boutiques de luxe vous attendent rue de Namur, l’axe d’entrée du centre-ville depuis la Porte de Namur.

Le quartier Mont des Arts est situé au Sud-est du Pentagone, entre la Grand-Place, la Porte de Namur, le Parc de Bruxelles et le quartier du Sablon.

Le Square Brussels Meeting Centre est une infrastructure dédiée aux congrès, conférences, foires, salons et autres manifestations. Ce centre de congrès Square — anciennement Palais des Congrès — dispose d’une surface de 13 000 m2 pour les espaces de conférence, mais aussi aux remises de prix, lancements de produits, défilés de mode, fêtes, sessions de travail… Il se trouve dans l’entourage immédiat de la Gare Centrale et de l’hôtel Méridien.

La zone Mont des Arts est desservie par 2 lignes de métro, 9 de bus, 2 de tram.1.176 places de parking couvert sont disponibles

Plus de 6 300 visiteurs s’y rendent quotidiennement.

On y trouve 1 cinéma, 2 théâtres, 10 musées, 3 écoles. Ces locomotives culturelles attirent tout au long de l’année les touristes internationaux, le quartier est un lieu de passage et de destination.

La rue François Vekemans est l’artère commerçante de Neder-Over-Heembeek, une ancienne commune incorporée à la Ville de Bruxelles en 1921, en même temps que Haren et Laeken.

Autour de la place de la Liberté, le quartier Notre-Dame-aux-Neiges offre à ses habitants et ses visiteurs une offre variée de qualité et attractive de restaurants et cafés qui répond aux besoins des nombreux employés de bureau de ce haut lieu administratif.

Cette zone se situe dans le Nord-est du Pentagone. Il est délimité par la petite ceinture à l’est et au nord, la rue royale et la coté administrative à l’ouest et les bâtiments du parlement fédéral au sud. Malgré son enclavement, le quartier est très accessible par la petite ceinture, est desservi par les transports en commun et offre la possibilité de parking couvert.

Dans ce quartier, où les coins verts côtoient les hauts immeubles de bureaux de manière surprenante, le cadre architectural du XIXe est préservé : l’ensemble urbanistique est cohérent et le patrimoine de qualité. Cette fonction administrative et la présence d’autres institutions et entreprises attirent chaque jour dans ce quartier des milliers de visiteurs, un chaland impressionnant.

On trouve sur la rue Royale de nombreux endroits connus de toute la Région comme le journal Le Soir, l’hôtel Astoria ou quelques fournisseurs de la Cour.

Les commerces spécialisés des rues du Congrès, de la Croix de Fer et de l’Enseignement offre un éventail de produits : multimédia, télécommunication, vêtements, sport… Le commerce de proximité qualitatif répond aux attentes des habitants.

3 lignes de métro, 4 de bus, 2 de tram, 1 750 places de parking couvert.

3.400 passages par jour

À 7 minutes à pied de la Grand-Place.

4 salles d’exposition, 1 salle de concert (le Cirque Royal, première salle de spectacle du centre-ville), 3 écoles.

La rue Neuve, totalement piétonne, est délimitée par les places Rogier et de la Monnaie. Bordé de places et de passages, le premier pôle commercial belge s’est développé autour du commerce de l’équipement de la personne.

Piétonnier le plus fréquenté de Belgique, la rue Neuve accueille les plus grandes enseignes internationales ainsi que City 2, le plus grand shopping center urbain du pays.

La rue Neuve est un véritable paradis du shopping et de la consommation où le client se rend avec un objectif précis sachant qu’il va toujours trouver quelque chose ou s’y rend pour passer son temps. Le quartier est perçu véritablement comme un centre commercial à ciel ouvert où le chaland trouve tout ce qu’il désire pour l’équipement de la personne.

Le Passage du Nord affiche un caractère et ambiance à part dans un cadre architectural début XXe où l’offre est plus haut de gamme : bar à huîtres, magasin traditionnel de tabac, coutellerie, des sandwicheries de qualité…

La place de Brouckère et le boulevard Adolph Max sont appréciés pour leur décor architectural, pour la terrasse de l’Hôtel Métropole, les salles de cinéma et les magasins de robes de mariées ou de soirée.

Les pôles Grand-Place et rue Neuve sont reliés par de petites rues commerçantes qui offrent une opportunité de promenade urbaine entre les deux principaux pôles touristiques et commerciaux du pays. Cette proximité patrimoniale et économique est un réel atout. La mixité commerciale y est organisée et grandes enseignes et indépendants y ont trouvé leur place et leur clientèle. Leurs offres complémentaires garantissent l’attrait du quartier.

Flux piétons moyen quotidien de la rue Neuve est de plus de 43 000. La rue des Fripiers, qui prolonge la rue Neuve au-delà de la place de la Monnaie vers la Grand-Place, compte plus de 28 200 passants. Les boulevards parallèles Anspach et Adolph Max comptent respectivement 13 300 et 10 000 passages. La rue de l’Écuyer, qui jouxte la place de la Monnaie et remonte vers la Cathédrale, la Gare Centrale et le Parc de Bruxelles, compte plus de 8 500 piétons quotidiens.

Fréquentation hebdomadaire : la rue Neuve connaît aussi un pic de fréquentation le samedi : plus de 60 000 piétons. La rue des Fripiers monte ce jour-là à plus de 40 000 piétons.

Le public de la Rue Neuve compte environ 40 % de jeunes adultes (18 à 24 ans) et 40 % d’adultes de 25 à 39 ans. Si l’offre des commerces de la zone est généralement à un prix abordable, la présence de boutiques et d’enseignes de qualité attire aussi un public plus âgé.

Les clients apprécient l’offre diversifiée du City 2, son look moderne et son dynamisme en matière d’organisation événementielle (semaine de la Gastronomie, décorations de Noël, spectacles son et lumière, semaines à thème…).

Le Sablon est le rendez-vous de passionnés d’antiquités, ce quartier regorge de boutiques, de galeries d’art et de grands chocolatiers.

Sur les terrasses de la place du Grand Sablon, les cafés et restaurants huppés sont le lieu idéal pour voir et être vu.

Les clients se rendent dans ce quartier en voiture et à pied, à parts égales et les dépenses moyennes y sont plus élevées qu’ailleurs.

La place du Grand Sablon accueille un marché très fréquenté les samedis et dimanches : on y compte entre 16 000 et 23 000 passages, quand la semaine en compte en moyenne 8 000 à 9 000.

À deux pas de la Grand-Place, le quartier Saint-Jacques a forgé son histoire grâce à un patrimoine unique et des personnalités originales, comme le célèbre Manneken-Pis. Rendez-vous de la communauté gay, il offre des commerces de caractère, pointus et de produits tendance.

Cette zone est implantée à l’Est de la Grand-Place dont elle est séparée par la rue du Lombard. Le quartier est organisé autour de l’église du Bon secours, étape du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle dont il tire son nom. Le lieu a conservé des témoignages de la ville ancienne, mais aussi une tradition d’artisanat et de commerce de proximité.

Le Manneken Pis ne participe pas vraiment à l’identité de la zone, mais reste incontournable. La place de la Vieille Halle aux blés constitue le haut du quartier et fait le lien avec le quartier du Sablon.

C’est un quartier qui attire et mobilise par son caractère historique. Il conserve son caractère bruxellois et il n’est pas uniquement à destination des touristes. Le quartier se caractérise par un ensemble relativement étendu de petits magasins originaux, à caractère unique, attrayants, soignés et majoritairement abordables de design, de vêtements, de cadeaux ou alimentaire, ainsi qu’un grand nombre de magasins pour collectionneurs.

Le quartier Saint-Jacques attire en moyenne 16 000 visiteurs par jour.

Le Vismet, Marché aux Poissons, et la place Sainte-Catherine regroupent les plus grands restaurants de Bruxelles spécialisés dans la cuisine de la mer.

Près des quais au Bois à Brûler et aux Briques, les communautés artistiques flamandes et francophones se mélangent. C’est aux abords de ce plan d’eau que se tient le célèbre Marché de Noël chaque hiver.

Le parvis de la place Sainte-Catherine accueille un grand nombre d’événements ponctuels.

La place Sainte-Catherine héberge hebdomadairement un marché bio. Cette large offre commerciale et horeca assure la satisfaction de besoins quotidiens et occasionnels et brasse les publics en conséquence : le Pain quotidien, le Roi des Belges, le Walvis, le Passa Porta Bookshop, le marchand de vin Niels, Mer du Nord, Comptoir des Cotonniers, l’épicerie fine Champigros…

Le développement de Tour et Taxis est également un facteur qui apporte une nouvelle dynamique à l’ensemble du quartier.

International et dynamique, Schuman est l’un des quar- tiers bruxellois les plus animés en journée. Ses rues regorgent de commerces, avec une place toute parti- culière pour l’horeca et les soins à la personne. Autour du Carrefour Jean Monnet, on compte ainsi plus de qua- rante maisons de bouche. Un haut lieu de la gastronomie bruxelloise où l’on déguste toutes les cuisines et parle toutes les langues, dans une atmosphère multiculturelle émulante.

En tendant l’oreille dans la rue Archimède, la rue Franklin, ou au square Ambiorix, on peut entendre parler une myriade de langues différentes, et un anglais véhiculaire aux couleurs diverses, selon l’origine de ses locuteurs. Métamorphosé par la construction européenne, ce quartier a néanmoins su garder son accent bruxellois. Au détour d’une rue, à la terrasse d’un café, autour d’un repas raffiné ou dans une boutique spécialisée, on part à la (re)découverte d’un véritable mode de vie et d’un quartier qui ne demande qu’à révéler ses joyaux.